« Cet ensemble vocal est excellent ».

« Pour un ensemble amateur je les trouve remarquables. Le répertoire varie les styles et l’ambiance était très sympa. Merci pour ce bon moment et à une prochaine fois. »

« Le public enthousiaste applaudissait frénétiquement. Le joueur de doudouk a été bouleversant à tirer toutes les larmes du cœur ! ».

« Vous avez rempli nos cœurs de joie et de bonheur »

15 mars 2025 à l’Auditorium Dispan de Floran de L’Haÿ-les-Roses

20 mars 2025 (Extrait de l’article du journal Nor Haratch page 8)

MUSIQUE

« Les Troup’Adour fêtent leurs 35 ans à L’Haÿ-les-Roses

Un concert exceptionnel a eu lieu le samedi 15 mars pour célébrer les 35 ans du Chœur Les Troup’Adour à l’Espace Culturel Dispan de Floran, à L’Haÿ-les-Roses, en région parisienne. Les Troup’Adour est une association fondée il y a 35 ans, dédiée à l’épanouissement par le chant. Elle encourage ses membres – qui, pour la plupart, ne sont pas arméniens – à libérer leur voix et à s’exprimer à travers la musique, mettant ainsi en valeur le travail accompli sous la direction d’Onnick Adourian depuis la création de l’association. Les influences musicales des Troup’Adour sont variées et témoignent de leur ouverture artistique, allant de la musique classique à la musique arménienne et du monde, en passant par le jazz et la musique française .

La deuxième partie du concert était consacrée aux œuvres des Troup’Adour, qui comptent actuellement 25 choristes (7 sopranos, 7 alti, 5 ténors et 6 basses), accompagnés d’un quatuor à cordes. Ils ont interprété, entre autres : Bonse Aba (chant traditionnel zambien), Whisper (Greg Gilpin), Soon Ah Will Be Done (gospel), The Rose (Ola Gjeilo, avec quatuor à cordes et piano), Credo (Vivaldi, RV 591), avant de conclure avec trois chants arméniens : Gueroungner, Hoy Nazan Im Yare et Erevan-Erebouni, accompagnés par le pianiste Dominique Guiguet, le professeur et instrumentiste de doudouk Ruben Kniassian, ainsi qu’Aghavni Vardanyan au kanoun. À la toute fin, les choristes ont réservé une surprise à leur chef en interprétant Erevan-Erebouni à leur manière, avec des paroles adaptées en français, en hommage aux 35 ans de travail acharné et de dévouement du couple Adourian. Sous une ovation debout, les Troup’Adour ont clôturé la soirée en beauté en partageant avec le public le gâteau du 35ᵉ anniversaire. Bravo aux organisateurs, aux artistes, aux membres du chœur, ainsi qu’à la municipalité de L’Haÿ-les-Roses pour cette soirée de qualité ! »

Le 17 mars dans l’église Saint-Gilles de Bourg-La-Reine

Ce samedi 16 septembre 2023, l’Espace Carpeaux de Courbevoie était le théâtre d’une journée de gala au profit de Santé Arménie et pour son action en faveur des enfants et adolescents en situation de post traumatisme par suite aux guerres en terres d’Arménie.

La journée s’est terminée avec un somptueux spectacle dont faisait partie les Troup’Adour.

Après les applaudissements saluant le Quatuor Akhtamar, 19 choristes avançaient du dernier rang de la salle jusqu’à la scène, chantant un Kyrie (Bob Chilcott – début du Nidaros Jazz Mass). Les Troup’Adour se déployèrent en un bel arc de cercle qui semblait vouloir envelopper le public de leurs belles voix chaleureuses.

Sous la direction d’Onnick Adourian avec Dominique Guiguet au piano et Ruben Knasian au Doudouk les choristes enchaînèrent avec un beau chant populaire arménien : Hoy im Nazani Yare (Ô ma Nazane grâcieuse) avant de nous faire voyager très haut avec l’oiseau emblématique de l’Arménie : La Grue (celle de Khatchatur Avetisyan).

C’est dans la joie ensuite que les choristes entonnèrent Hoy Nazane Im (Ma Chère Nazane) donnant au public l’envie de danser.

Pour terminer le directeur artistique de l’ensemble Onnick Adourian a choisi d’interpréter l’un des airs les plus chantés par tous les Arméniens, qu’ils vivent en Arménie ou dans toutes les diasporas : Yerevan-Erebouni .

Dans la salle, même ceux qui ne connaissaient pas l’air auparavant se mirent à chanter avec les Troup’Adour !

Des choristes qui composent cette chorale, aucun n’est arménien et pourtant, tous chantent en arménien.

Ils sont arrivés, pour certains étant encore enfants, pour s’épanouir par la voix avec le musicien, musicologue et thérapeute, Onnick Adourian que Marcel Ruffo qualifiait de Magicien. Onnick Adourian a créé Troup’Adour il y a plus de 20 ans

Fidélité, expérience, sensibilité, tous ces qualitatifs conviennent aussi bien à l’ensemble qu’à leur chef . »

« Les Troup’Adour, choeur mixte qui nous a déjà plusieurs fois enchantés, ont entrelacé avec bonheur, dans leur programme, Mozart et le Texan Johnson, Poulenc et des compositions contemporaines britanniques, Fauré et le negro spiritual, la légèreté brillante du folklore américain et la beauté sans faille du Cantique de Jean Racine, chef-d’œuvre de Fauré. Et surtout, nous avons tous éprouvé la densité émotionnelle de quelques chants arméniens ; c’était comme des appels à la paix sur une terre aimée. Merci à tous les chanteurs pour leur merveilleux travail et pour la vérité de leur voix ; merci à Onnick Adourian, chef et artiste si passionné et si rigoureux, qui sait combien la musique est un langage universel. »